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EN BREF
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Lors de la matinale, Laurence Esquedin, responsable de la communication chez EEC ENGIE, et Frédéric Schall, responsable des services généraux, ont mis en lumière les enjeux cruciaux de l’écomobilité, des énergies renouvelables et du bilan carbone. Ils ont souligné l’importance de favoriser des modes de déplacement plus durables et ont partagé les initiatives engagées par leur entreprise pour réduire son empreinte carbone, notamment l’acquisition de véhicules électriques et la replantation d’arbres pour compenser les émissions de CO₂. Ils ont également abordé les efforts pour augmenter la part des énergies renouvelables dans la production électrique, en visant un avenir plus responsable et respectueux de l’environnement.
Lors d’une matinale récemment tenue, Laurence Esquedin et Frédéric Schall d’EEC ENGIE ont partagé des réflexions puissantes sur les enjeux cruciaux de l’écomobilité, des énergies renouvelables et de l’optimisation du bilan carbone. Ces experts ont mis en lumière les actions entreprises par leur société en Nouvelle-Calédonie pour répondre aux défis environnementaux d’aujourd’hui et de demain. Dans un contexte de changement climatique où chaque geste compte, leur engagement a suscité un vif intérêt parmi les participants.
Les enjeux de l’écomobilité
L’écomobilité représente une approche intégrée du transport qui vise à réduire l’impact environnemental des déplacements. Cela inclut des solutions comme la marche, le vélo, les transports en commun et le covoiturage. Un changement de paradigme est nécessaire pour réduire les émissions de CO₂ associées à l’usage excessif de la voiture. Laurence Esquedin a souligné que de nombreuses personnes n’ont pas encore saisi l’importance d’intégrer des modes de transport plus durables dans leur quotidien.
Elle a également expliqué que la Nouvelle-Calédonie, bien qu’île éloignée, n’est pas exempte des défis mondiaux liés aux déplacements. Il est impératif que la population locale prenne conscience des impacts de ses choix de mobilité et opte pour des options moins polluantes. C’est dans cette optique que EEC ENGIE a pris des initiatives visant à faciliter l’usage de l’écomobilité, notamment en améliorant l’accès aux transports publics et en offrant des infrastructures pour les cyclistes.
L’engagement d’EEC ENGIE pour les énergies renouvelables
Dans le cadre de la transition énergétique, EEC ENGIE s’illustre comme un acteur engagé. Frédéric Schall a présenté les objectifs du gouvernement qui visent à augmenter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique calédonien. Actuellement, l’électricité est composée à 80% d’énergies carbonées, mais entre 2030, l’objectif est de parvenir à 70% de renouvelables. Cela implique des efforts conséquents pour décarboniser le secteur énergétique.
Frédéric a également précisé que EEC ENGIE se positionne en tant que site positif, produisant plus d’énergie qu’il n’en consomme. Cet objectif ambitieux se base sur des investissements dans des technologies vertes et des systèmes innovants visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Sa déclaration était à la fois inspirante et engageante, affirmant que chaque action compte dans cette lutte contre le changement climatique.
Le bilan carbone : un outil de mesure clé
Lors de la matinale, il a été souligné que le bilan carbone est essentiel pour évaluer l’impact environnemental des activités d’EEC ENGIE. Laurence Esquedin a rappelé que l’entreprise a réalisé son premier bilan en 2008, suivi d’un second en 2018. Grâce à cet outil, l’entreprise peut suivre les progrès qu’elle fait dans la réduction de ses émissions de carbone et adapter ses stratégies en fonction des résultats obtenus.
L’entreprise a su tirer parti des données collectées pour identifier les domaines où des économies pouvaient être réalisées. Frédéric a donné un exemple marquant : le parc automobile de l’entreprise a réussi à compenser 100% de sa production de CO₂ par la replantation d’arbres. Cela illustre non seulement l’engagement d’EEC ENIGIE à poursuivre ses efforts environnementaux, mais également l’idée que des solutions innovantes peuvent combiner progrès technologique et responsabilité écologique.
Actions concrètes pour réduire l’empreinte carbone
EEC ENGIE ne se contente pas d’analyser son impact carbone ; elle agit. Plusieurs initiatives ont été mises en place pour réduire son empreinte. Parmi celles-ci, on trouve la mise en place de bornes de paiement en ligne pour minimiser les déplacements des clients. Cela démontre un engagement à faciliter l’accès à des solutions respectueuses de l’environnement.
La digitalisation des services représente également un pas en avant. En utilisant des outils numériques, EEC ENGIE permet à ses clients d’interagir avec ses services sans avoir besoin de se déplacer physiquement. L’accès facile aux transports en commun est un autre élément clé, car cela encourage les employés et les clients à privilégier des alternatives à la voiture individuelle.
Le télétravail et ses perspectives
En réponse aux évolutions des modes de travail, EEC ENGIE envisage d’incorporer le télétravail comme une pratique à part entière. Avec des objectifs déjà fixés pour 2024, l’entreprise cherche à réduire davantage son empreinte carbone. Le télétravail est reconnu comme un moyen efficace de diminuer les déplacements quotidiens, contribuant ainsi à la réduction des émissions globales.
Cette démarche, présentée avec enthousiasme par Frédéric Schall, souligne l’importance d’adapter les pratiques professionnelles aux enjeux environnementaux contemporains. Les collaborateurs d’EEC ENGIE seront encouragés à adopter ce modèle, permettant ainsi une flexibilité tout en maintenant une productivité saine. Cela reflète une prise de conscience collective concernant les enjeux environnementaux et la nécessité de faire évoluer les pratiques de fonctionnement au sein des entreprises.
La sensibilisation des populations face à ces enjeux
Au-delà de ses actions internes, EEC ENGIE s’efforce de sensibiliser la population aux enjeux de l’écomobilité et des énergies renouvelables. Laurence a abordé l’importance de l’éducation environnementale dans ses interventions. Elle a souligné que les citoyens doivent comprendre leurs choix et leur impact sur l’environnement, notamment à travers des initiatives telles que les ateliers éducatifs et les campagnes d’information.
Avec des exemples concrets, EEC ENGIE souhaite inspirer d’autres organisations à suivre son modèle et à s’engager dans une démarche de transition énergétique. Les discussions durant la matinale ont révélé l’enthousiasme croissant d’un public désireux de participer à un avenir plus durable.
Le parcours vers une mobilité plus durable
La route vers une mobilité durable demandera des efforts concertés de toutes les parties prenantes, des gouvernements aux entreprises, en passant par la société civile. EEC ENGIE mène la charge avec une vision claire : promouvoir une mobilité qui respecte l’environnement tout en étant accessible à tous. Frédéric Schall a souligné que cette transformation nécessite une volonté collective et une coopération entre plusieurs acteurs.
Les partenariats public-privé seront essentiels pour renforcer les infrastructures liées à l’écomobilité. Cela pourrait inclure la création de réseaux de transport public étendus, l’aménagement de pistes cyclables ainsi que le développement de solutions innovantes de mobilité douce. Les défis sont nombreux, mais les bénéfices potentiels pour la société, l’économie et l’environnement en valent la peine.
Inspiration et engagements futurs
Les propos de Laurence Esquedin et Frédéric Schall lors de la matinale constituent un appel à l’action. Avec un engagement constant pour un avenir durable, EEC ENGIE se positionne non seulement comme un acteur de la transition énergétique mais aussi comme un modèle à imiter. En forgeant une culture d’écomobilité et de respect de l’environnement, ils aspirent à inspirer d’autres entreprises et individus à prendre des mesures concrètes.
Ils ont aussi partagé qu’ils continueraient d’évaluer et d’optimiser leurs stratégies à mesure que de nouvelles solutions émergent. Pour plus d’informations et des ressources pour réduire son propre bilan carbone, des liens utiles tels que cet article et cette discussion sont à votre disposition.
Les initiatives d’EEC ENGIE dans le domaine de l’écomobilité et des énergies renouvelables ouvrent la voie à de nouvelles pratiques. Les efforts déployés par Laurence Esquedin et Frédéric Schall sont emblématiques d’une transition nécessaire vers un avenir plus vert et plus durable. Ainsi, leur parcours nous rappelle que chaque action compte, et que c’est ensemble, en tant que collectif, que nous pouvons réaliser le changement.
Témoignages sur l’écomobilité et la transition énergétique
Laurence Esquedin, responsable de la communication à EEC ENGIE, souligne l’importance de l’écomobilité face à la crise climatique actuelle. Selon elle, favoriser des modes de déplacement plus respectueux de l’environnement, comme la marche, le vélo, et les transports en commun est essentiel. « À l’époque où nous avons signé la charte écomobilité en 2016, notre engagement ne date pas d’hier ; nous étions déjà dans cette dynamique avec des actions concrètes comme la réalisation de notre bilan carbone », raconte-t-elle. Son entreprise est un exemple à suivre en Nouvelle-Calédonie, contribuant activement à la réduction des émissions de CO₂, véritable enjeu de l’époque.
D’autre part, Frédéric Schall, responsable des services généraux, partage les avancées en matière de transition énergétique. « Nous sommes considérés comme un site positif, ce qui signifie que nous produisons plus d’énergie que nous n’en consommons », explique-t-il fièrement. Actuellement, avec 80% d’énergies carbonées dans l’électricité calédonienne, l’entreprise s’aligne sur l’objectif du gouvernement qui vise à atteindre 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030. Ce changement est vital pour l’avenir de la région.
Frédéric Schall met également en avant les efforts d’EEC pour maîtriser sa consommation énergétique. « Notre bilan carbone réalisé en 2008 et de nouveau en 2018 a montré nos progrès : aujourd’hui, tout notre parc automobile compense 100% de ses émissions de CO₂ par la replantation d’arbres », précise-t-il. Ce geste non seulement aide à compenser les émissions, mais illustre aussi l’engagement de l’entreprise envers l’environnement.
Enfin, les initiatives prises par EEC ne se limitent pas à la réduction des émissions. Laurence Esquedin fait mention de la digitalisation des services et de l’introduction de bornes de paiement en ligne pour réduire les déplacements des clients. « Nous souhaitons faciliter l’accès aux transports en commun et promouvoir le télétravail, avec des objectifs mis en place dès 2024 », ajoute-t-elle. Ces mesures participent toutes à une vision plus durable et à une meilleure qualité de vie pour les citoyens de Nouvelle-Calédonie.
